Communiqué de presse (English below)
Ayant appris la visite du nouveau président des États-Unis, Joe Biden, à Bruxelles ces 14 et 15 juin, sachant qu'à cette occasion, outre sa participation au sommet de l'OTAN, il rencontrera notre souverain Philippe 1er et notre premier ministre Alexander De Croo, les comités Belgium4Assange et Free.Assange.Belgium voudraient se saisir de cette opportunité pour demander que lors de cette rencontre soit évoquée la situation de Julian Assange.
Si nous le pouvions, nous aimerions parler au Président Biden de l'injustice faite à Assange et de son pouvoir de l'arrêter.
Nous savons qu'aux États-Unis une résolution bipartisane visant à faire abandonner les charges contre Julian Assange vient d'être introduite à la chambre des représentants et que dans cette résolution, des démocrates et des républicains s'unissent pour dénoncer les accusations portées contre Julian Assange pour ce qu'elles sont : une menace pour la liberté du journalisme et la liberté d'expression.
Nous savons aussi l'attachement de nombreuses personnes aux États-Unis pour le Premier Amendement de leur Constitution.
Nous organisons, en Belgique, depuis plus de deux ans des rencontres et des actions pour la libération d'Assange et pour ce qu'elle représente : la défense du droit à l'information, c'est pourquoi, nous souhaitons que ne soit pas manquée cette occasion de dire au président des États-Unis que l'abandon des charges à l'encontre de Julian Assange et sa libération constitueraient une décision juste redonnant des perspectives à la liberté de la presse.
Press release
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