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02/11/2023

België: een voorbeeldige oproep tot handelen
Belgique : Un appel à l’action exemplaire
Belgium: An exemplary call to action
Belgica : un appello all’azione esemplare
Bélgica: Una llamada a la acción ejemplar
Belgien: Ein vorbildlicher Aufruf zum Handeln
رفض التعامل مع المعدات العسكرية الموجهة للحرب في فلسطين
NL FR EN IT ES DE AR



  • Centrale nationale des employés (CNE/Puls), member of the Confederation of Christian Trade Unions (CSC/ACV)
  •  Union Belge du Transport (UBT/BTB), member of the Fédération Générale du Travail de Belgique (FGTB/ABVV)
  • Syndicat des Employés, Techniciens et Cadres de Belgique (SETCa/BGTK), member of the FGTB
  • CSC/ACV-Transcom (transport and communications)

Rifiuto di maneggiare attrezzature militari per la guerra in Palestina

31/10/2023

Mentre in Palestina è in corso un genocidio, i lavoratori dei vari aeroporti del Belgio vedono armi dirette alle zone di guerra.

Il carico e lo scarico di queste armi consente di rifornire le organizzazioni che uccidono persone innocenti.

Noi, i diversi sindacati attivi nel settore dell'assistenza a terra, chiediamo ai nostri iscritti di non occuparsi di voli che trasportano materiale militare verso la Palestina/Israele, come del resto erano già previsti accordi e regole chiare all'inizio del conflitto con la Russia e l'Ucraina.

Chiediamo un cessate il fuoco immediato e chiediamo ai governi belgi di essere coerenti e di non tollerare spedizioni di armi attraverso gli aeroporti belgi. Come sindacati, dichiariamo la nostra solidarietà a coloro che stanno agendo per la pace.

Il fronte sindacale comune

  • ­    Centrale nazionale degli Impiegati (CNE), membro della Confederazione dei sindacati cristiani (CSC/ACV)
  • ­    Unione Belga del Transporto, membro della Federazione generale belga del lavoro (FGTB/ABVV)
  • ­    Sindacato degli impiegati, tecnici e dirigenti del Belgio (SETCa), membro della FGTB
  • ­    CSC-Transcom (trasporti e comunicazioni)

Negativa a manejar material militar para la guerra en Palestina

31-10-2023

Mientras se comete un genocidio en Palestina, los trabajadores de los distintos aeropuertos de Bélgica ven pasar armas destinadas a zonas de guerra.

La carga y descarga de estas armas permite reabastecer a las organizaciones que matan a inocentes.

Nosotros, los diferentes sindicatos activos en el sector de la asistencia en tierra, hacemos un llamamiento a nuestros miembros para que no manipulen vuelos que envíen material militar a Palestina/Israel, como también había acuerdos y normas claras al comienzo del conflicto entre Rusia y Ucrania.

Pedimos un alto el fuego inmediato y solicitamos a los gobiernos belgas que sean coherentes y no toleren el envío de armas a través de los aeropuertos belgas. Como sindicatos, declaramos nuestra solidaridad con quienes están actuando por la paz.

El frente sindical común

  • Centrale nationale des employés (CNE), miembro de la Confederación de Sindicatos Cristianos (CSC/ACV)
  • Union Belge du Transport, miembro de la Fédération Générale du Travail de Belgique (FGTB/ABVV)
  • Syndicat des Employés, Techniciens et Cadres de Belgique (SETCa), miembro de la FGTB
  • CSC-Transcom (transportes y comunicaciones)

Weigerung, militärische Ausrüstung für den Krieg in Palästina zu handhaben

31.10.2023

Während in Palästina ein Völkermord im Gange ist, sehen ArbeiterInnen an den verschiedenen Flughäfen in Belgien Waffen, die für Kriegsgebiete bestimmt sind, wegfahren.

Das Be- und Entladen dieser Waffen ermöglicht den Nachschub für Organisationen, die unschuldige Menschen töten.

Wir, die verschiedenen im Bereich der Bodenabfertigung tätigen Gewerkschaften, rufen unsere Mitglieder dazu auf, keine Flüge abzufertigen, die militärisches Material nach Palästina/Israel transportieren, da es zu Beginn des Konflikts mit Russland und der Ukraine ebenfalls klare Vereinbarungen und Regeln gab.

Wir fordern einen sofortigen Waffenstillstand und bitten die belgischen Regierungen, konsequent zu sein und keine Waffenlieferungen über belgische Flughäfen zu dulden. Als Gewerkschaften erklären wir unsere Solidarität mit denjenigen, die sich für den Frieden einsetzen.

Die gemeinsame Gewerkschaftsfront

  • Centrale nationale des employés (CNE), Mitglied des Christlichen Gewerkschaftsbundes (CSC/ACV)
  • Union Belge du Transport, Mitglied der Fédération Générale du Travail de Belgique (FGTB/ABVV)
  • Syndicat des Employés, Techniciens et Cadres de Belgique (SETCa), Mitglied der FGTB
  • CSC-Transcom (Verkehr und Kommunikation)

    رفض التعامل مع المعدات العسكرية الموجهة للحرب في فلسطين

     

    31 أكتوبر 2023

     

    بينما تجري عمليات إبادة جماعية في فلسطين، يرى العاملون في مطارات مختلفة في بلجيكا شحنات أسلحة في طريقها إلى منطقة الحرب.

     

    إن تحميل أو تفريغ هذه الأسلحة يعني المساهمة في إمداد الأنظمة التي تقتل الأبرياء.

     

    نحن، عدد من النقابات العاملة في مجال الخدمات اللوجستية الأرضية، ندعو أعضاءنا إلى عدم التعامل مع أي رحلات جوية تحمل معدات عسكرية إلى فلسطين-إسرائيل، مثلما كانت هناك اتفاقيات وقواعد واضحة في بداية الصراع مع روسيا وأوكرانيا.

     

    إننا ندعو إلى وقف فوري لإطلاق النار ونطلب من الحكومات البلجيكية أن تكون حازمة وأن لا تتسامح مع تسليم الأسلحة عبر المطارات البلجيكية. كنقابات، نقف مع أولئك الذين يناضلون من أجل السلام.

     

    الجبهة النقابية المشتركة:

     

    المركز الوطني للموظفين (CNE)، عضو اتحاد النقابات المسيحية (CSC/ACV)

     

    الاتحاد البلجيكي للنقل، عضو الاتحاد العام للعمل في بلجيكا (FGTB/ABVV)

     

    نقابة الموظفين والفنيين والكوادر البلجيكية (SETCa)، عضو FGTB

     

    CSC-Transcom (المرور والاتصالات)

14/12/2021

Affaire Assange : les garanties des USA sont-elles fiables ?




Ce vendredi 10 décembre 2021 était la journée mondiale pour les Droits de l’Homme, célébrant l’adoption en 1948 par l’Assemblée générale des Nations Unies de la Déclaration universelle des droits de l’homme.
Le même jour, deux journalistes ont reçu à Oslo leur Prix Nobel de la Paix, alors qu’à Londres, Julian Assange voyait sa persécution se confirmer pour avoir commis le « crime » de journalisme.
Tandis que les criminels mis en lumière par ses révélations restent libres de continuer leurs forfaits en toute impunité.

Ce vendredi 10 décembre 2021, onze ans après la première arrestation de Julian Assange au Royaume-Uni, deux juges de la Haute Cour britannique ont cassé le refus d'extrader Julian Assange vers les USA décider par la Magistrates' Court le 4 janvier 2021. Les juges ont accepté les assurances diplomatiques données par les USA concernant les conditions d'incarcération d'Assange dans ce pays : pas d'incarcération en prison de haute sécurité, pas de soumission à des mesures administratives spéciales (SAM), sauf si de futures circonstances justifiaient de les appliquer, et la possibilité de demander la détention en Australie, le pays d’origine d'Assange. 

 Ce 10 décembre 2021, deux juges britanniques se sont laissés influencer par des garanties étasuniennes dont l'histoire montre qu'elles ont déjà été rompues à plusieurs reprises !
En effet, pour la défense d’Assange, les « assurances » avancées par l’accusation n’en sont absolument pas, car elles sont non contraignantes et peuvent être annulées à tout moment.
Par le passé, dans nombre d’autres affaires d’extradition, les USA ont avancé des « assurances », sortes de garanties de bon traitement, et n’en ont pas tenu compte une fois le détenu arrivé sur leur sol.
Et puis, comment faire confiance aux assurances avancées par ceux-là même qui ont envisagé de kidnapper Assange voire même de l’assassiner sur le sol britannique 1.

Enfin, les SAM, « Special Administrative Measures », ne sont qu’un des nombreux dispositifs de détention « dure » des USA, où 95% des prisonniers qui sont à l’isolement aujourd’hui, soit près de 80.000 détenus, le sont par application d’autres régimes que les « SAM ».

Amnesty International et Reporters sans frontières ont estimé que ces garanties étaient non fiables

Les avocats de Julian Assange ont immédiatement fait part de leur décision de faire appel devant la Cour Suprême.

Mais en attendant, Julian Assange est redevenu extradable et menacé d’une peine de 175 années de prison s’il est extradé vers les USA. 

Julian Assange n'a plus connu un jour de liberté depuis son arrestation en 2011.
Il est incarcéré depuis deux ans et demi à la prison de haute sécurité de Belmarsh (surnommée le Guantanamo britannique) sans aucune condamnation.

Il vit dans un stress permanent qui a provoqué un accident vasculaire cérébral alors même qu'il assistait par lien vidéo à l'audience d'appel du 27 octobre.
Nils Melzer, le Rapporteur Spécial de l’ONU sur la torture a déclaré : « Si Julian Assange meurt en prison, il aura effectivement été torturé à mort » .

Plus que jamais, l’interminable procédure de cet imbroglio judiciaire s’apparente à une persécution.
Julian Assange paie depuis plus de 11 ans le fait de nous avoir informés.

Il est urgent d'obtenir sa libération et d'exiger de notre pays un soutien juridique.

La mobilisation du plus grand nombre peut contribuer à faire changer la situation, c'est à cela que nous nous attelons.

1- https://news.yahoo.com/kidnapping-assassination-and-a-london-shoot-out-inside-the-ci-as-secret-war-plans-against-wiki-leaks-090057786.htm 

Quelques photos de la manifestation qui a eu lieu ce lundi 13 décembre devant l'ambassade du Royaume-Uni à Bruxelles













12/06/2021

Biden en Belgique : il faut lui parler de Julian Assange !
Biden in Belgium: we must talk to him about Julian Assange!


 Communiqué de presse (English below)

Ayant appris la visite du nouveau président des États-Unis, Joe Biden, à Bruxelles ces 14 et 15 juin, sachant qu'à cette occasion, outre sa participation au sommet de l'OTAN, il rencontrera notre souverain Philippe 1er et notre premier ministre Alexander De Croo, les comités Belgium4Assange et Free.Assange.Belgium voudraient se saisir de cette opportunité pour demander que lors de cette rencontre soit évoquée la situation de Julian Assange.

Si nous le pouvions, nous aimerions parler au Président Biden de l'injustice faite à Assange et de son pouvoir de l'arrêter.

Nous savons qu'aux États-Unis une résolution bipartisane visant à faire abandonner les charges contre Julian Assange vient d'être introduite à la chambre des représentants et que dans cette résolution, des démocrates et des républicains s'unissent pour dénoncer les accusations portées contre Julian Assange pour ce qu'elles sont : une menace pour la liberté du journalisme et la liberté d'expression.